BASA

. - 177 - faitcurs, comme il y en aYait dans certains pays qu 'aurait pu nous dés igner un évèque bien connu, dans son voyage dé Turin à Rome où il allait recevoir la consécration épiscopale? non 1 jamais cela ne s'est vu dans la vallée d'Aoste. Loin de là, celle éminence s'appelle Plou, voyez, parmi ces domiciles, la chapelle de saint Jean-Baptiste. Elle vo us dit que la religion de l'Homme Dieu, confiée ~t ;saint Pierre et à ses successeurs, avait placé à cet endroit un de ses établissements d'utilité publique. Cette métairie a été la ferme de l'ordre religieux. militaire des chevaliers de Saint Jean de Jérn salem. Ce nom seul prouve que l'unique but et la fin de celle fondation a été d'aider, de protéger, de recevoir, au brsoin, les pèlerins et les passants; '(lt de pourvoir ainsi à la sùre té de leurs chemins. Cette bonne œu \TC se pratiqua pendant bien de longues années; mais enfin cet Onlre, royant qu'il ne pouvait plus l'exercer par quel qu ' un de ses frères, crut ne pouvoir mieux pro– 'Curer la continuation des bons offices dont la perspective avait donné naissance it l'établissement, qu'en le cedant à la ma ison du Grand-St-Bernard. Le zèle et le dévouement de celle-ci pom l'exercice de rhospitalilé el de l'assistance des voyageurs sont sans pareils et plus clairs que lejour. Aussi, comme il a déjà été dit au chap. 1v pag. 58° 3. partie, par acte du 7 novembr·e 1 654, reçu à Pont-Beau– voisin Borety not, tout ce que les chevaliers de Saint Jean

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