BASA

179 prix de cette vc iile, <' l quelles furent les co:1ditions sticcessi~· vemenl imposées aux noaYeaux acqaéreurs? Je l'ignore 1 comme j'ignore quels en ont été les fondateurs, et les legs principaux . Plus heureux que Saint Jean de Rumeyran, a saint Etienm! d'Aoste et Saint Jean de la Pierre entr~ Bard el Donnas, Saint Jean de Plou a encore des maisons ·et des personnes qui bs hab itent. Sa chapelle est toujours sur pied servant au culte et célébrnble. Elle date du mo– ment forlLmé où . les chevaliers, dits aujourd'hui de Malte, ont fixé ici un de leurs hospices, d'autant plus nécessai– re alors que la distance de Verrès au bourg de l\font– Jovet, sans voir une habitation sar la route, était de deux kilomètres plus grande, l'église nouvell8 et la maison dite Palais de Montjovet n'é tant là que depuis environ un de– mi-siècle. Le marteat1 démol isseur du temps n'a fait que la rajeunir el lui donner de nouveaux. maitres. Elle a donné son nom au terroir où elle se trouve, qui n'est plus désigné que sous la clénominalion de Sai nt Jean de • du dit lien de la Rit 1 ièl'e. lls ont exwniné ensemble les '' ruines récentes. Ils ont aussi mentionné une auti·e inonda– i( tian préctideute au meme lieu, arrivée en 1.65-1. Prés du tor– a rent de Clwlamy, au bras qui est au pied de la colline d·3 " Champ-de-Praz, se trouvaient diverses petites piéees de· u terre cultivées, de cinq quartanées, appartenantes à la u Commanderie de Saint Jean de Plou, lesquelles avaient été <1 ruinées par les eaux en 1654.

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