BASA
185 - rainée, et partant il faut qu'elle eût ét3 b:en anclenneç De m ~ m ~ une rèdevance si p ti te q.:e ce!ie de cin:1 S-OUS· ne doit pas être b ju:;te prix: annud d'un fief universel des avo irs de c2t hôpital, ce n'e3t q•.i'une re"Connaissanœ dei la suj ét!on de cet hôp ital vers la Prévôté, et les· épo;rx Rcymon<l:n se seront obli,: és, en vertu de ce fi ef, à donner l'ho.;pilalté am. pd rins et aux pa ivres passants. En 1380, ensu te d'un diJàend survenu entre ~1_.r Ferrandin évêque d'Aoste et le prévôt de Verrès IIJgu2s d '· !'Epine, un accord au herrtique se fit où sa Grandc:F, entre aû tres· bénéfi ces qu'elle reconnaît clep.'r dre de la pr0vo !é d'e Verrès, nomme e'<p ressément la c:Jre de Sain t-Gill s, avec son !tâpid. Cette rec(}1naissancJ est connr.1H\ .~ par· le Somerain Pont:fe FJix V. Je ne sac'.ie· pas qüe cet hôpital ait été nommé dans aucun acb po3térie1r, et il' n'en e3t pas dit un mot dans le dé!aiI, qrre le noncr. de S. S. saint Pie V fait en 15'70, des droits que le co 1,·ent c1:.\ Verrès aYai t clans le di oc~se d'Aoste. - Ama+il étéi uni à la Prévôté 1 ou bien aura-t-il di sparu avec le temps, parce que ses avoirs inféod6s aaro;i t subi le sort qu':' u ·en t pbs tard les cens emphyte1tiq tes ? J'ignore e;,;a'emen! si, ct :s son ori;;ine, il a eté fondéi par qJel.prn birn[;:i,it:;ur q .i lui aurait a:; igné une bonne do·afon, · n le co:1Pa:1\ aux Ile– ligi eux. de S1t!ï1t-Gi:les; o.J s'il comm ·r ~.a p<lr u n·~ <bposition· pièuae clu Couvent qui, pour ne pas troul.JLir la soli-
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