BASA

- 192 - (Nicole de BE rd , famill e prése:itement éteinte), jusqu'a'1 smrr~me t où vou s ' 'errez à droite l't gfo e paroissial , el à ;~a c' e le palais dit du gén :e, 'end'.1 à la commu ;>e par Je ministè– re de la gue rre yers 1866. Le claq"em ·nt des fouets, lè feraillemenl des pieds des cl:ernu"X, fos durs et sauva– ges accents de:; cochers, les cal. ois des lo urds fomrgons étaient l'asrnurd issunte S) mpLonie ordinaire qui résonnait à l'oreille; et qui nous dira les coups acharnes qui se pré-– cipilaient sur ks reins et su r la tète de ces paunes b~ tes? Connne elles doivent bénir la Providence de r abandon de– cette viei:Ie rou te, dès 1861; n'importe le respec t que' méri te le nom d'Annit~al , per Amiûalis vi:rm quam Bardum appellant, ou du consul romain auquel elle est dûe, fut-ce · mAme de l'empere ur Augus!e? Il n' a été donné qu'à l'ha– bileté d'un général de Napoléon I '', rn 1800, d' y faire · passer nuitamment et rnns bruit son artillerie de gros calibre; et ce transport obtenu, la garnison du fort de . Bard fut obligée de se rendre (Aubert Vallée d'Aosle pag.101 ). Oh! qu'on se repose maintemmt tranr;uille dans cette· antique bourt:,ade, toute vivan te qu'ell e est pe11dant le jour– de son petit · commeïcel Qu'en aurait-il été, ajoutai-je, dans ces jours heureu sement si rar~s, où à l'approche de, J"ennemi, l'enceinte de ces monts à mille et une formes retentisrnit du brui t des canons, et que plemnient de la forteresse sur cel étroit passage la mi lraille et les projec-

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=