BASA

siiccesmfrs et hérit iers n'eussènt jamais cessé dr veiilr.r el de s'aider à la sage et comenable manutention de leur hùpital , les nobles frères Dè Jordani s s'en sont réservé le droit de patrunage. Des actes postérieurs nons pro11 vt>nt que celle mesute a été fort. utile. Si, d'un côté, ce dro it de patron entrave pa l'fo is la libre administration d'un bénéfice, et peal en écarter un plus digne canrlidat; de l'autre, il donne h l'établissement des protecteurs continuels, en fai sant, dirai-je, passer dans le sang et le cœur des di vers hé.ritiers pro lempore l'intérêt et raffeclion qu'avaient pour lui ses premiers auteurs, el il le leur fait regarder t omme leur œu vre per,sonnelle. EL de fa il la noble famille RiccARAND , à laquelle se transmirent l'héritage el les droits de celle DE .Jo1WA'\'IS, ne négligea aucunement l'hôpi– tal en question. Le notaire J, Jacques Longeys rédigeait, le 4, mars '16 4,8, l'acln de cession, qu 'elle passait en fayeur de cet hôpital et de son recteur le rév. Père Jean Canalis, curé d'Hùne et Ilard, de deux pièces de bien, c'est-à-dire d'une vigne avec vacolle, clap,ier et intetposites, au mas de la noyeretta, et l" une autre petite appelée Laberrimi, l'une el l"autre dans le terroir de Bard et confinée d'un côté par la grande route. Ces pièces étaient déjà possédées depuis quelques années, est-il dit, par le même rév. recteur. Cette translation de domaine se faisait par le noble Cllarles– François lliccarand, à ce autotisé par son père noble Jean 13

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