BASA

t tL\Pltnt V HOPITAUX DE DONNAS ·-- Nous rnici ~t dett '\ pas de nia dernière étap<,, : fa fini -'· 1·01\l mes recherdws sur les hôpitaux. Dejà nous touC::ons aux usines de MM. les frère s Selve ( 1 ); la route nou vellé que nous avons qu ittée à l'en ~.rèe de Bard , et que la Doiré coudoye, 1t'approche à grands pas et va tend re la main à l'an~ienne route , sauf à Jaissei· intact à celle-ci le parapet qu 'elle a dans la muraille en~ore debout de la dernière maison sud -ouest du Bourg de Donnas. Comment ne pas m 'arrèter ici ~t mon aise ? Ah ! Donnas tu nùs trop cher pour qne je l'oublie! Quelque tri~te que soit la peinture qu e M. Je cheva!L r Aubert a faite de la bourgade, dan~ i;a Ya /lde d'Aoste page 92, il est peu de pays don t le (1) Le 12 ju illet 1857, une fète spéciale réunis$a it ici une compagnie d'élite, et un granü concours de peuple, de dix à onze heures du malin. L'évêque du Diocèse, Mgr Jourdain, s'y rendait, suivi de plusi 3urs ecclésiastiques. Sa Gr. avait, le jour précédent., con sac ré, avec tunle la pompe et toutes les cérémonies prescri tes dans le poutiûc:il, l 'ég li ~e paroissiale

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