BASA

- 218 devenu s maitres de notre pays, tenthen t d'y fa:re acîrne!-– tre kurs idées et leur sys tème ant:clirétien, les vendéew; du bas Val d'Aoste froissés dafü les affections ks pluil chi• res par l'exi l de leur roi, relégué en Sardaigne, et e\a~pr; rés; <•xtrèmement par la gue:Te q ne b nomeau régime décla– rait à la religi on, ne surent pl us ~e conteni r : ils affiuè– r.mt à Donnas comme dans la terre nata le de la foi ,. d'où ils se dirigèrent vers Aoste. ()ue si, dan~ le parox isme· de leur indi;:,nation , ils se rortèren t à quelques acles bien r~gre ttabks, que jamais la Religion ne saura it ap prouvt· r,. on connait les mesures que prit le municipe, ( 1 1) on ~ ait Ls efforts que fit le bon curé Veneriaz, pour les empr– cher.. On dut lui arrache r d'entre les bras celui que sa; voi x, ses supplications et ses larmes n'avaient pu faire relàcher dans ce tumulte, et auquel il avait été sommé· de donner ' vite l'abso lution. ll écrivi t à la uu rge tl'un acte: dans un rC'gistre de la paroissè : il furore populi libera nos, Domine. Oui, le zèle religieux des habitants de· Donnas. est siè mal!ifeste que l'impie de lous les Lemps, ne pouvant le· contester, prononce hardiment, P' C'C le commissait:e Bru ni, (1) Voyez la lettre de la rnnn1cipalile cle Donnas au citoyen géné ral ~!erck du 20 nivose ('10 ja nvier '180 1) pa g. '.185 de l'opuscu le de M. Duc Pi erre Etienne, cha no iile cl1ancelier ép iscopa l sur la Prévôté de Verrès. lvrèe f873.

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