BASA
- 22f - ticrn nai ssante, pénétrer toutes ses fibres et passer de pèra• à iils .i a~qn 'au dernier des siècles ! Qur, puis-je désirer de uueu:x pou r ceux que j 'aime? La foi ne Yit que par l'exercice de la charité, ne soyez donc pas surpris que la paro isse de Donnas ait bâti, et consacré .à cette n ·rtu , non un seul mais troi s établi..-sements : UN HOSPJCE , UN HÔPJTAL, el UNE MAISO~ DE REFUGE POUll LES LÉPREUX. Ce ll e-ci se trou vait en dehors des villages, au midi de la route publique au lieu dit Martorey: on n'en reconnait plu s la placP, on rn a même perdu le so;;venir. Cenx-E1, au con- - traire, fondés sur le roc,. sont encore debout el figurent sur le cadas tre communal sous lr.s noms d'Hospice des Capucins de Chatillon et d'Jlôpital de Donn:is. Je ne suis pas riche de renseignements su r la rnaladière de Donnas. A près la preuve de son existence en 1 3 1 1 7 par le legs qui lui est fait dans le testament du nobl e seigneur Hen– ri de Quart, prérôt de la Cathédrale, d'une manière ex– presse et distincte de l'hôpi tal de Donnas et de la mata– dière d'Aoste : legavit lwspit11li Donicii qiiinque solidos semel: item maladerie ibidem quinque solidos semel; et plus loin maladerie auguste de subtus ad opus leprosorum .. ...... , je ne connais que ce que m'en apprennent deu x actes de reconnaissance faits en 1 1 598 le 27 mai , et plus tôt déjà le 31 octobre 1 5 41 , en favBur de la mense ép is– copale d'Aoste. Par la cllarle de 1 1 598, (Jean Ileymo.ndé
Made with FlippingBook
RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=