BASA
'- 22i - :Savinis de nard , qui forent de Jean frère <le feu Jean– Pierrn feu Jean Goyet. La pi rce de terre moins grande avait la charrière dite d'Alleys, qui confinait aussi ait couchant l'autre pièce de bien, confinP.e du cô!é de Pont– St-MarHn par les biens de la mense episcopale, lesquels · declùiantur, y est-il dit, et à Ira vers lesquels passe une certaine quantité de l'eau de la Doire. Cette partie drs biens de la maladi(;re de Donnas n'était donc pas encore, ·à cette époqne, convertie en glair comme elle le fut en 1598 . Les pièces de bien étaient alors possédées toutes ·les deux par .ÎC'a!l de Barthél emy Danna, à titre sans •doute de fiel' donné par la mense épiscopale. Depuis quand, demanderez-vous maintenant, la mense épiscopale a-t-elle eu la maladiè re de Donnas ? celle-ci n'aurait-elle été peut-être qu 'un .) annexe de celle d'Aoste, ·et serait--elle ainsi passée à la mense par l'acte d'union faite à cette mense de la maladière située à St-Christophe, comme élant une de ses proprietés, sans qu 'on a:t ru besoin d'en faire la moindre mention ? · Ce silence ne sau– rait point être suppo'sé possible, lorsqu'il s'agit d'un éta– blissement qui, un grand siècle pl us tôt, fi gu ra it et était regardé comme autonome clans les actes publ ics tels que le testament du noble Prérôt Henry De Quart. Ne hti aurait-elle pas plutôt été cédée postérieurement, à l'inst.;i r .de la maladière d'Aoste. par une concession du St-Sié 0 e ' 0
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