BASA

:sôus la condition et i·éserve d. y nuint1~ni r conslamm·'nl nïi logement pour ·les lépreux , quand il s'en trouverait? Et ne seraii-ce point cette disposition ;i:u 1 me qrti aurait ren– du la vie et les forces de la jeunesse à cette maisoo dé refuge des lépreux, dite, dans l'acte de 1 1 i)ft. '1, jad s cho– ~al olim casale ? On ne peL1t cependant pas se cacher que la maladière d'Aoste ait eu des biens fond ' qui lui ap– partenaient, dans la commune de Donnas, au x portes mè · me de Pont-St-Martin, au XIV siècle . L'année 1396, le recteur de la dite maladière d'Aoste, J'fm·tin Campolorenzali, cle rc et citoyen d'Aost:', donnait à fi ef, pour sa vie durant, à Richard feu Jean Dierne de Bard, un pré avec arbres, 1itué au lieu dit pré gaillard et référéys, territoire de Donnas. Ce pré confine 1° au chemin public ; 2° et 3 ° à des terres données à fief par les nobles de Jordanis ; i 0 aux biens des frèr:• s Gervais et Bartùélemi feu Jean– Dierne, bourgeois de Bard. La rente lt paye r chaque année au Recteur est de 36 sous de cens; 1 1 8 deniers de service et deux deniers de plaids (quando accideret.) Que ne m'est-il donné de mettre la ma in sur le contrat écrit par le no– taire Poldon en 1 520 ? Ils me fournirait certainement des éclaircissements sur l'état de cette léproserie de Donnas au X V siècle. Je devrais au moins connaître ce qu' il en a été d11puis la fin du XVl siècle. Mais hélas! je n'en sais

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