BASA
rle'n ~ èt je vais clore cet article, pour passer à celui de l'hospice. Chospice de Donnas, appelé depuis deux siècles et de– mi l'hospice des Capucins, est au sommet du Bourg, au co uchant de la chapelle de Saint-Ours, à laquelle il se rat– tac e par une galerie en pierres, ouverte au midi et longue de quatre à cinq mètres. Il occupe un espace d'environ soixante-dix rn 0tres de superficie, enclavé entre la route ancienne, au nord, et au midi la Doire qui bai– gnait la roche sur laquelle il èlait bàti. On y descendait par un escalier intérieur pour puiser de l'eau, du cô té du levant, dans le petit recoude qu'elle faisai t, pour occuper la plar;e enti•e l'hospice et la chapelle, sous la galerie qui joignait l'une à l'autre. Présentement la route nouvelle a pris la place de la Doi re ; et bien que l'eau ne soit plus à la portée de la maison, on ne se plaint pas de son éloignement. Depuis longtemps déjà, cet hospice sert de local pour la te– nue de l'école communale des garçons. Mais aurait-il été bâti 'exprès pour les RR' 15 • PP. Capucins, ou existait-il déjà auparavant, et dans ce cas à quoi servait-il ? Si je puis répondre qu 'il était une maison de charité avant tout établissement de Capucins à Chatillon, je remercie sincère– ment le Rd. P. Capucin Archange, présentement de la famille des dils RR. PP. Capucins d'Albertville (Savoie), 15
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