BASA
- 230 - ,cJcs renseignements qu'il m'en donne. Je ne saurais mieux. faire que de les lranscr:re ici tex tuellement : ·« Albertville 16 janvier 18811. cc Monsieur le cl1ano int', je vous envoie b prr.mière expédi"" cc lion des notr>s que vou s me demandez sur l'hospice de « Donnas. La seconde sui vra de près. Je ·ne pourrai pas «< sa tisfaire en tout vos bons désirs; mais au moins j 'ai la cc consolation de Yons dire tout ce que je sais, et ,·ons cc en ferez l'usage que vous jugerez à propos pour le bulle"" cc tin de l'Académie. Je vous dirai d'abord que je n'ai \ ' U cc ni lu aucun des vieux titres qui concernent la f'onda– f( lion de l'hospice, ni de ceux qui en 16:20 le donnaient cc à nos pères, à condition d'y lia.biter pendant les stations cc du Carême ...• Je ne puis vous parler que de la déli– f( bération du Conseil de la commune de Donnas qui , en cc 18 ·18, offrait, à l'exemple de la municipalité de Chatil– << Ion , l'UosP1CE aux mèmes conditions qu 'avant la révolu– << lion, c'es t-a-dire de prècher le ca rême il l'église de cc Donnas ... c'. aque trois ou quatre ans. J'a i lu cette déli– ce bération tians les archives du couvent de Clla tillon, où cc je l'ai laissée. Ce n'était qu ' une cop :e faite par le .se– << crétaire de la commune, légalisée par la signature et le « sceau du syndic . Je me rappelle d'avoir lu, lorsque je cc vis itais l'hospic0, le mill~simc ùe sa construction. Il était « graH~ sur ,;ne pierre de la cliapelle, placée sur le de-
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