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231 "' l1ors des murs, Ju cùlé visant sur le Bourg. .Te ne le << trouve plus: je ne sais si je l'ai pris en note ou si je < l'ai o:d.i :ié. << Il y a eu dans la Vallée deux. époques mémorables, « celle de la fondation (' es hospi ces et celle des couvents. '« La fondat ion et la desti nation primitiYe de l'llospice de « Donna" cl ltent du temps ciu 'on érigeait partout dans le c Duché des hôpitaux pour Je:; inllrmes, pour les pauYl'e::> '« voya;;eu rs el pour les pa u\res pélérins qui se rendaient '(( en Italie, surtout à Rome, pou!' vis iter les tombeaux. ·« des SS. Apôtres Pierre et Paul, et les Sancttiaires Je::; « plus renommés dti la péninsule. Les hospices étaient des ;« jalons qne l'industrieu se charité du peuple valdotain '« avait dressés sui· les di re rs passages des roules sur tous <1 les parcours de la vull(;e. Les nobles, les bourgeois et '« les riches particuliers consacrèrent leur fort une à ériger '« des hospices. A cette époque, c'était un admirab le élan « de charité dans toutes les 1'égions, d' une extrémité de la « province à l'autre. La cité et les bourgs constrnisirent '<c des asi les de bienfaisance. C'était une sainte rivalité de te bonnes œnvres. Donnas rn uln t a\'oir le sien. C'était l'an– (( cien esprit des Sa lasst> s qui se ré' eillait dans toute sa te fer veur; car cc vieux peu;lle, qui a défriché le sol d11 u Du ché, regardait l110spitalité comme le plu s saint de3 « dernirs, et s'ea fit une loi sacrée et inviolable. L'occu-

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