BASA
'll' fon l'accord fait avèc le municipe donateur. Le Seigneur <( de Bard, de Donnas et de Pont-St-Martin, dont je ne <( me rappelle pas le nom, intervint dans l'acte et prit (( l'hospice et les capucins sous sa protection. n n' y eut << pas besoin de l'autorisation ni du Duc, ni du Pape,. « parce qu'il ne s'agissait pas de l'erection d'un nouveaLL « couvent, et qu'il dependait d' un qui ela1t dejà approu- 1<. ve par le Trône et le St-Siege. Les notes que feu M. (( l'avocat Bich m'a communiquees, et dont il a conserve « l'original, ecrit de sa proprè main, en forme d'analyse << puisee sur la copie de l'acte de cession de l'Hospirn, « disent que: L'an 1629 le conseil mwiù-ipal de Donnas et « les pères Capucins, présidés par le Seigneur de Bard, de Don- « nas et de Pont- Sk~lar,în, se réunirent à la maison commune, « à l'effet, le conseil de céder l'hospice aux PP. Capucins de Chà– << tillcm, et les Capucins, en l'acceptant comme succursale, de s'en- u Chapitres généraux de !'Ordre. Elle n'existe plus de nos " jours; mais elle fut exactement observée à l' époque des n conventions prises avec le Consei 1 de Donnas. En 1B1 fl et. u 1820 le père Zozime de Tllonon, Gardien, a entrepris de re– u mettre cet usage en vigueur, lorsqu 'il alla prêcher Je carème u à Donnas;mais lesdifficultésd'entretiepsoit pour lui soit pour " le frère son compagnon furent si gr<Jndes qu'il fut obligé d'y n renoncer... Aussi les pères Zozime, Gabriel et Pierre n'habilè- 1< rent point l'hospice pendant leurs station~. Ils logèrent chez M. u le Curé que le Conseil devait dédommager des frais de la " pen sion accordée aux prédicateurs du C<Jrêrne, en griJLifian t !( ceux-ci. d~ une certaine somme qui, je crois, ét<J it. de 50. 01t>
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