BASA

23ff - {( des prédicateurs, et des sujets qu'il fallai t placer dans;' cc les cou vents que le Révérendissime P. Eugène de Rumilly, cc commissaire général, rétablissait en SaYOie, en premiei· e1 lieu à Chambéry en 1 1 81 8. Le P. Zozime prêcha à. <c Donnas le cMème de 1820-2 1 1-22. Appelé à présider « le Couvent de Chambéry, en qualité de Gardien, il y « eut interruption, et Donnas n'eut plus de prédicateur c< qu'en 1830. Ce fut le pe rc Galiriel qui donna et tint c< c \lte station. De 1822 à 1830, le Conseil resta proprié– <' la ire de l'Uosp;ce. Le dernier carème ful prêché à cc D:;nnas en 1836 par le Père Pierre, j'étais alors à. cc c: atillon, en qualité de clerc. « De 1 1830 à 1 1836, les négoc:a1ions furent reprises « par le Conseil pour la définitive cession de !'Hospice; c< mais les Rll. PP. Gardiens Ambroise en 1831, Fi·an– << çois en 1836, Bienvenu en 1839 el Gabriel en 1841 « n~ purent pas renouveler le contrat, parce que alors les « RIL PP. provinciaux re ;Jrirent les couvents d'YLnne, de « la Hoclte et d'Al berlviile; et ils eurent besoin des; « religieux po ur y met tre et former des communautés. Ils « ne parent pas augmenter celle de Chatillon, et ym ltre « un prédicateur pour le Carême de Donnas. Ayant été « fixé de famille à Cli atillon de 1840 à ,1848, et y « ayant même rempli, pendant trois ans, les fonctions de « Vicaire, je sais que le Conseil communal a fait bien

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=