BASA

l)rieut" de St-Ours, (mort le 1 17 décembre 1 8 G7) si reèounü pour son habileté et ses succès dans les r:' cherches ~listoriqur~ du. pays, ait formell ement déclar;\ qu 'il n' y a jannis eu des Templiers établ is rlans no tre Duc! :é. Ainsi on cile l<'S Templiers de sain te Hélène a Sarre, a Quart , etc, · tandi:.: qu'on sait que cr son t les bénédictins de saint Victor et de saint Jean de Genèw, a1rxq w ]..; ces églises furen t c/id(·cs sn r la fin du onzième si~cl e et au mi lieu du do u zi (~me , Quant a l' église de ])onnas, après la rni ::e de son égiise paroi ss iale de Saint Pierre el Saint Ours, ass urément el!ê n'a pas été nne ~gl is' des Templiers, mais si une maison re-' li gieu se se trouvait alor:> là. où se trouve aujourd 'h11i l'église avec son pr<'Sb\ li• re, je présume cprn c'é tait une mai~on que la prévôté de :Mont-Jou" aura possédér, pou1' que ses religieux LrouYassent un refuge, a eu x, depuis Aoste, quand ils dernient se rendre en Piémont. De fa je comprendrais qu i\ dans Je malheur s•:rvenu , on eût été heurenx de céder aux prévôt et aux chanoines réguli ers du Grand-Sl-Bernard cette parnisse de Donnas, pour qu'elle fùl assistée et soignée dans la charge des âmes et l'exer– cice du cul te religieux. Je rapporterais ainsi l'èpoqu e de ce catacl ysme à 1 '176-77. Mais où se seront reti rés, me demandé-je, ceux qui n'on t pas péri dJns celle alluvion '! Ne seront-ils pas allés elle relier un ab ri dans le Bo urg actuel sous IC's remparts de la roche vive qui devait les

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=