BASA

1tir à tout jamais d' trn éboulement sC'mblable cenx qui :nL déjà là le ur mai son, Je .; auront sans doute logés eux, en attendant qu 'ils se fùssent bâtis un réduit a Ne serai t-ce point alors q11'on aura it constrnit la chape! le ,aint Ours au sommet du bourg, su r cet.Le roche qui nçait ver,; la Doire, au midi de la grande route ine, soit pour élever un édifice en l'honneur de St- comme patron jusqu 'alors de la paroisse, soit pour pier là le protecteur contre les inondations, car la ~ n'é tait pas une voisine trop chère. ~ pou s·;e plus lo in me~ induclions: je lis dans l'histoire des le3nobles par Oe Tillier, article De Vallaise, que les sei ~ rs Eimericits, Aymo et frères d' Amad sont nommés en des s de sauvegarde de l'église de saint Pierre et saint ;, de Donnas vers l'annce 1179. (Que ne puis-je rer ces lettres)? Le désastre arrivé à Donnas an ra sans e excité la compassion de nos Souverains, et le très- prc'\vô t de Mont-Joux n'aura pas m'rnqué de solliei ter rotcclion de !'Augu ste .Maison de Savoie pour cette e si affl igée ? D'où après le décès du B. Humbert, fil s Thomas 1, pour assurer aux anciens et nomeaux tanls du bourg, un lieu moins exposé am. menaces la Doire, en même temps pour garantir le chemin ic, aura fa it construire la barrière dite, aujourd'hui re, la digue du prince Thomas, dont les murs sem-

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