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244 - blent aussi durs et aussi solides que ceux des i·oii1aÎfüi 1 et sur laquelle sont fondees au midi toutes les maisons anciennes de cette partie méridionale du bourg. Je puis me tromper sans dou te, mais toutes les données que j 'ai semblent me conduire à celté seule explication. D'un autre côte, je ne puis me cacher qu e le titulaire de ce lte pa""' roisse a été jusqu 'en 11 77 le mème que celui de la collégiale de St-Pierre et St-Ours d'Aoste; il est plus certain encore que l'l:ôp ila l 'de Do nnas, comme nou s le verrons, dépendait de la mème collégiale. Sur ce fallais m;ima-' giner que la paroisse de Donna ' lui était unie dès le commen-' cernent, et que cette collilgiale dans ses rapports int imes avec la prévôté da St-Bernard , l' une et l'autre œu\Tc de l'archidiacre d'Aoste, anit laissé cette église aux reli gieux de Mont-Joux , retenant pour elle l'hôpital qu 'elle y avait; et qu'elle l'arnit déjà fixé à côté de la nouvelle chapelle de Saint Ours. Je me serais d'autant plus attaché a cette opinion que le bourg de Donnas est le seul endroit où se soit toujoms fait, et où se fasse encore de nos jours du 31 janvier au premier févrirr, fète de St-Om•s 1 le marché des vases et ustensiles de bois, ainsi qu 'il se fait au bourg St-Ours d'Aoste. Mais il m'est impossible de me faire illusion, la huile citée d'Alwrnndre Ill de 1176 m apprend que l'église de Donnas n'était à cette époque ni d'une maison religieuse ni de l'autre, ni de ce Cllapi-

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