BASA

- 245 b·e, ni de celui -là, mais de la juridiction et de ia dép'.'ndanM ·exci usi\ c <le l'évèquc diocésain; et d'après les nombreuses cliarles que j'ai ~ 1 u es relatives à l'hôpital de Donnas, je suis co1Fa incu que l'hosp ice <les Capucins n'a jamais appartenu à la Collégiale de St-Ours, ni à la pl'évôté du St-Bernard ; et que le refu ge, dont il a pris la place, a toujours été tout antre que l'nômAL de no~NAS. Que la curiosi té vou s fasse sui vre l'antique route qui traverse le Bourg de Donnas dans Loute sa longueur du couchant au le\'ant; rnn s aurez à peine fait les deux tiers de ce trajet que vou s \'Oilà sur la place commune . for– 'mant un gros rectangle "ers le nord. La maison et le jar– din du Comte de Donnas, propriété aujourd 'hui de la Com– mune, se trouvent au bout de la place. Pendant un gl'and uombre d'années, on y a tenu d'un côté une auberge, et de l'autre le burean et le" archives de !'Insinuation. Main– tenant elle se rt pour les écoles élémenta ires des filles, et l'habitation des qnatre sœurs de St-Joseph d'Aoste, qui en sont chargées depuis six ans. Derrière cette maison et au dessus de toute son élévation, sont perchées sur un banc de la roche au pied de laquelle le Bourg s'abrite, des do– miciles à demi rninés qu'habitent deux. à trois familles pauvres du lieu . C'est t'!iôpitail, comme on l'appelle dans la paroisse. En eITet c'est là que fut bâti l'hôpital de Donnas, dit des pélerin:5. L'étendue du terrain quïl occupe 16

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