BASA

- 246 - ~en'ti·e les domiciles et places, est, nous llit le caéiasfrè 'communal, de 4, ,i, toises anciennes, el son alliv-remcnt n'est que de O, 4, 5 centimes. Quelques-uns prétenden t qu'il ·est df1 à la piété de la famill e des nobles Dalbard, s'ap– puyant sur le local de sa situation, enclavé qu'il est dnns 'les bieni'l de cette ma:son, et ayant son investiture èt dé.:.. vestiture, par la ruel'le qui longe la maison que ces sei– gneurs avaient à Donnas, el fait comme parle de son en– clos. Les confins que lui do rme le cadastre n° 94, sont, 'levant, couchant et nord , Jean Etienne Charles P:albard ( 1 1), midi, la communauté de Donnas; mais le clos de cdle"'" ci, jadis du Comte de nonnas, es t de deux. gros mètres plus abaissé que l'hôpital, et il est fermé par un mur ,d'enceinte ·qui le démon tre étranger à cette ruelle, où ce– pendant son jardin a une porte d'issue. Je ne saurais par– tager cette op!nion, soit parce que l'ennoblissemen t de ce tte maison est, de tro :s siècles et plus, posté rieur à l'e \is– t~nce de l'hôpital de Donnas, soit parce que ce nom ne figure auounement dans les plus anciens titres que j 'ai vus, .relatifs à cette lnai son hospita~ iè.re. , J' at!ribue rais plutôt c;:-;tte fombt'.on à b famille d!3 11) La fo rn ille nobl e Da l b~ rd,' bra nch0 6t<ib1is à D:rnnas, s ·,,~t l•t <i inte dan s 11 110 m:c qn i a épo:;;.A le n ·:i!:~ir0 Charles. , i.ir cie Peiloz ù'où la fa1n illc des Cl1arles-Dal barJ.

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