BASA

247 'Î<frciani ~' <pi avait bea uco up de biens irnméubl ès sur le terri to ire <le Donnas. J'ai lu qu 'un procès long déja et cL ~pu1Jiéux ven tillait, au sujet de cet hôpital, entre le prienr de St-Ours, r1~v. Antoine de Vall aise, qui èn était recteur, et les nobles Antoine, André, V uillerme et Picfre De Jordanis, et qn e des mesures se prenaient en 1 423, pour mellre H11 à cet:è question litigieuse agi tée par devant l'OITicialité d' Aosie. Le~ deux prem!ers avec le ni· frère Jéàn a\aient fond<~ en 142;.; !"hôpital de Bard. Mais pourquoi ne lasserai -je pas l'Lonneur d'un tel établissement à la population môme de Donn:is? L'acte de visité faite à l'é– glise de Donnas 1rnr le chanoine Jean Comte, à ce délé– gué par Mgr· Oggér Morise lli en 1 1.1 2, dit expressément ·qu 'alors il était regardé comme ayan t été l'ondé par la. Comrn 11 nè, lwspüale quart dicitttr fundatwn ab ùiitio a Comrmmitrrte dicte ville, qu' il avait sa èhapelle soüs le vocable, non de St-Ours, mai~ de Ste Madeleine, silure 'dans le diocèse mrrne d'lvreè au lieu dit Estyllian, à une petite di ~fancé au lerant de Pont-St-Martin , lerritoire de la paroisse de Can' nie, et qu'il était, selon la coutume 1 dirigé et administre par ·1e chapitre de St-Ours. Sa tenue sembl e avoi t~ été à cette époque plus que sa ti sfaisant e. lL s'y trouvait le nombre de six petits lits tous garnis de linceuls, de matelas, et de couverture" en grand~ q uan lité et très-conYcnablcs: erani in dictu !tospitali sex lectitli mttm"ti

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