BASA
251 - que ce bénéfice est passé en commende et a été eonfél'ê:' an nobles Dalbard. Les se uls recteurs qui apparaissent depuis, comme chanoines de St-Ours, sont Jaquinoz Etienne en> 4 6:39, Brunet Pierre en 1 164.-9, et Neyroz Jean-Jacques dw 4 71 3 à 1737; encore ignoré··je qui leur a conféré ce bénéfice, comme j 'ignore depuis quel temps précis et par quel accord le Chapitre de St-Ours a renoncé à ses droits sur cet hôpital. Si quelquefois la provis ion de ce bénéfice est venue de Home, il est certain qu'en dernier lieu c'était l'évêque diocésain qui en nommait et instituait le recteur. La preuve s'en trouve dans les actes d'institution et de JJossesso ire du rév. Pramotton Jean-Antoine, sous la date– du '.26 février et '.2 avril 1 1 '7 6 7, et pos t~rieurement dans ; ceux de la collatio .1 faite à ses successeurs. L'état dressé par le rec!eur prénommé J. Antoine Pra- – motton déclare que le bénéficier, pourvu de cet hôpital, devait toujours avo ir deux lits disponibl es pour loger les p ~ lerins. Là semblaient se réduire toutes se,; obligations. Voici ce qu'on lit dans l'acte de visite pastorale de Mgr de Sales, le 1 6 mai 17i.i5 : « Sur les représentations fli– « tes à Monseigneur par le rév. Curé et divers particuliers « que le recteur de lïtôpital de Donnas a toujours été « en usage d'entretenir deux lits dans la maison du dit « hôpital pour y retirer les pauvres passants patentés, Sa. t<: Grandeur a ordonné au recteur moderne de s·acquitter ·
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