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- 255 - c< f''rnc'emcr. l de celle obligation, et de faire trameur~ (c toutes les réparations convenables au dit hôpital, et de « l'entretenir en bon père de famille. >> La mème règle était suivio cen t an; pl us tôt . Mgr Ferra– gata fai sant la visite des p:i roisses du Di(lcèse à la place de S. Emini:l nce le cardinal-évèque d'Aoste, Marc-Antoine JJobba, était à Donnas le 22 août 1 56 7 et visitait l'hô– pital dt1 bourg du dit lien, don t le recteur etait rév. seigneur Fra11çois Ualbard. li y trouva, écrit-il, deux lits, 'l'Ïsilavit !wspitrtle buryi Donacii, cuius est rector rev. Franciscus de At!mnio, in quo reperit duos lectos. Ne serait-ce que par surabondance que deux évêques intermédiaires, D'Arvillars (~t Ferreri consignent dans les actes de leurs visites, le secoi:d le 1 8 juillet 1 096 et le premier le 20 mai 1 727 , quïl y anit tro is lits pour le logement des pauvres, pro pauperilms rdberyandis. Le même évèque D'ArYillars l' avait vis.té par le chanoine Vivès le 28 avril '1709, mais alors il était en très-mauvais etat, pour être con ï erti en caserne. Tristes temps q;;e ceux. où le pays devait donner le passage et le logement à de.s tro upes ennemi es ! Il eut la consolation, en 1727 , de le trouver rebâti et bien soigné: « Lequel est présentement, dit-il, rebasl i et. mis en estat par les. soins du rév. seigneur rec teur; seulement comme les for– mes de lits manquaient encore, Sa Gr. ordonna de le!