BASA

- 2SC - mire au pîus tô t, et de placer en atlendant des banquettes' pour ne pas laisser les trois lits à terre. » Il n'est point parlé de messes à acquitter, ni de nour- · riture à préparer pour les pauvres'. Non teneri ad alendum pauperes nisi illos recipiendos, répondait à Mgr Perreri, l'hospitalière Catherine, veuve de Simon Bondon , pour le recteur Dalbard Octave. - Comment se fait-il que les rec- · teurs du XV siècle aient eu de six à huit lits mun is de tout le nécessaire? Pourquoi l'hospitalier établi par le recteur Boniface Bordon, (Mermetus ou M:artinus fil s de Natalis Boniny de Poby) di sait-il en 1 il_.16 qitod debenlttr recipi pauperes lecto, pane, vina et igne? Que penser en voyant qu 'on fai sait enco re à cette époque des plain tes contre les· recteurs, comme s' ils n'eus~ent pas employé, au profit de l'hôpital, les revenus qu'il avait, et qu 'ils eùssent négligé l'hospitalité? Je me suis vu con traint de me rappeler ces paroles du Sauveur: Ne soyez pas surpris si le monde vous poursuit de sa haine, no{i/J mirari si odit vos 1mmdits. 0 vous qui, mettant en pratique les conseils de l'évangile, quittez tout, parents, biens et plaisirs même permis, et re– noncez jusqu'à votre volonté, pour suivre J.-C., attendez– vous à être haïs et persécutôs irn\me de la part du mon– de; sachez que si on a persecuté le maître, on traitera de la même façon ses disciples, Scitote quia rne priorem .vobi!?.

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