BASA
257 · odio liabuit: si me persecuti sunt, et ·1;os persequentut . Mals le prètre et le religieux ne sau ron t que se venger en fai sant du bien, en se dévouant à l'e ercice de la charité la pltts génerale envers tous sans exception, et, si exception il y a, c'est en fave ur de leurs ennemis, benefacite lzis qui oderwnt vos. Et toujours il sera vrai que les maisons reli gieuses sont les bienfaitrices de l'humanité , la providence spéciale des pauvres. Heureux, di rai-j e sans cesi>e, les pays où il ·s'en établi t quelqu'une, et qui savent les conserver! Mais revenons à l'hôpital de Donnas et voyons encore quelles ·en ont été les rentes. Des notes extraites d' un registre des annales existant dans la Chambre Apostolique (Rome) nous font connaître la valeur totale ann uelle des avoirs de l'hôpital de Donnas ·en 11.74 et 1503. 1° « 30 avril H..74 . llevérencl Jean « de Marsenasco (Chanoi ne de la Cathédrale d'Aos te) '« s'oblige pour l' annale de l' hôpital de Donnas, de l'ordre « de St. Augustin ( St-Ours d'Aoste), du revenu de 70 « (soi'\ ante-clix) florins, vacant par la mort d'Humbert (( Anglicy. Il était grevé d'une pension annuelle de dou– (< ze florins en faveur de Pierre, Pri e ~1r de Ri paille. > Elie venait de cesser. On Yerra que ce revenu de 70 fl orins était le doub le du revenu de la cure, parce qu 'on li t dans le même registre sous la date clu 24 février 1474· « révé– « rend Guillaume Vachéry, chanoine de S. Gilles de Yer-
Made with FlippingBook
RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=