BASA

- '.2trn - '.tafays et de son épouse, et autres de ce temps-là , Or I~ .prix de ce lo yer annuel ~n 1 421 était de soixante flo– rins, en sus sans doute de sa c!Jarb"e d'administrer l'hôpi– tal e.t d'y recevoir les pauvres à loger. Regit per Jar10:: Cyprian qui... tenet ad censum annualem pretia LX floreno– rum bonorum. Ces chiffres ronds (So ixante -- soixante dix florins -– ,quarante ducats d'or), exposés au grand jour, à des in– tervalles successifs et si peu rapprochés les uns des au– tres, nous disent, à la suite des donations du XIII siècle, si, dans tout le parcours des trois à quatre cents ans que l'hôpital de Donnas a été sous la régie du Chapitre de S. Ours d'Aoste, les chanoines réguliers de cette Coll ogiale ont pris un vif in térèt à sa prospcrité'. Res est lippis, dis– je sans crainte, et tonsoribns nota; cenx-là seulement qu i :/wbent ocnlos ut non videant, peuvent le contester. D'après l'inventaire transmis à la chanrellerie épiscopa · le en · '1788 par le révérend Recteur de cette époque, lei avoirs annuels de cet hôpital montaient à la rente de li– vres quatre-vingt do uze (92) en numéraire et à deux charges et trente-d6u.x quartero~is de vin. Un autre étal, en forme de tableDu, des rnrnnus de ce même Ilénrfice-Hôpi– tal, dress3 et signé Combet estimateur le 30 ai1Ûl 111 i, porte la mème ~omme d'argent; un e\trait du cada;;tre

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