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- '!!60 - qu;on y a joint donne la note de div 1·~rs pi,\ct•s rle bieris fo nds; mais il n' e,:.p!iqu c pas si ces prés, champs et vi- gnes sorit po;;sédés réellement par le bénélicier- recteur, ou si ce sont les biens don nés en emph~ theose, su r les– quels a été imposée en sa fave ul' la rente fin vin , etc. dont au collet ou inventaire de 1 1788. Mais quoi qu ïl en ait été aulre!'ois, l' acllf de cet hôpital est aujo urd'hu i réduit à néant; et tout cons iste dans la possession de ces masures, où quelques pauYres de Don– nas, qui manquent de domiciles, sont lwureux de lrouyei· un ab ri, quelque misérable qu'il soit. Les malilems des années, qui unirent la f1n du xvm . siècle au commence– me nt du XIX, en firent disparaitre tous les avoirs. Toute– foi s S. Gr. Mgr. Jourdain lui donna en février 18 1.2 un nouveau recteur, pour recouvrer tout ce qu'il pourrait des débris de ce bénéfice, se reservant de statuer plus tard sur l'emploi des aroirs reco1wrés. Mais ce recouvre– ment n'elait pas chose fac ile, vu la pe rte et la dispari tion <les titres et papiers qui. le concernent. On rapporte sans savoir preciser l'année, qu'ordre a été donné aux adminis– trate1ws de la Commune de Donnas, de remettre toits ces papiers au procurwr ile l"Economat Général, et qu'wi sac plein fut remis (sic) par 5! . le syndic oit maire à 1}fr le Prévôt Chentre de Verrès, et par lui transmis à Turin, ai'

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