BASA

z(}1 Btircmt du dit Bc'!WJ 11wt Gr;wi1;11l. Jletala 14ern, c'esl ici une tradition orale, sur laqu el le je n'ai pas des données sù res. Elle paraît cependant digne de croyance, à la vue d' une quittance qui m'est tomb(•e entre les mains, el que j"ai en soin de cons~rver. Elle a été délivrée par Mr. l'E... conorne Gén é~ ral dans les termes suivants: « Con/i'sso io cc solloscrillo di avPr ricevuto dal s~;1wr Prep. Chen fre, cc snbeconomo di Verrès fo sommn di (randâ ventl rr red~ <c diti del !Jene/îzio dPlt' ospndrtle dei pPf[,,yrim: a Donnas, co– <c me dî nrdine di questo (Jmerale U!J7;io, del .r;iornu d'o.rJfji; <c per qua li fr. vrntz' quitta ü prpdeJto S~q: Prep. Cltentre e cc chi per esso. ln /'ede Td·ino :, 48 \ wr;o 1 806 . Cordera te Tese ,qli ,qibel/ùû V. Conlroflore. >> - 11 doit y avoir dans les arc:1ives commuuales une lia~sc ou deux d'actes de reconnaissances passés ën fa veur du recteur Jean Ver– cellono, de 1 ;rn7 à 1 1520, de quelques vieux fü~fs ou cens, sur des biens si tu és a Carème, diocèse d'hrée, mas d'Estyllian , ptwcrits depuis bien longtemps. Après diverses recherc'ies, Je dernier recteul' avait dé– jlt reconnu quelques débit<'u rs, déji1 il avait ob tenu une sentence fa1o rab!e en 184\1, et il espérait fai re rentrer un peu à la fois ce qui n'arnit pas été paré, des rentes encore ex istantes à la fin du dernier siècle. Mais il s'arrè- 17

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=