BASA

- 262 - ta bientôt tout court. quand émanèrent en ;1855 les lois tl ' incamr~ration des biens de l'Eglise. TI se désista de tout acte d'adm;nistration sur les domiciles de l'hôpital, content que la Commune le traitât comme un bien qui lui appartenait, Puisse cet hôpital, tel qu 'il est encore, vivre longtemps sous la protection de sa première mère, si c'est la CommunJ qui l'a fondé! et puissent les misérables sans nbri y trou rnr un asile contre les injures de l'air! La Commune sans doute sera toujours assez gé– néreuse pour relever au besoin et réparer ces chétives maisons du vieux hôpital , dit communément des péler:ns, quoique dans les premiers temps il ait été dés igné sous les noms d'hospice, d'hôpital des p<tuvres, hospitale, hospi– cimn paitperwn de Donacio. Il me reste à énumérer les recteurs et hospitaliers dont j 'ai pu retrouver les noms. 1° Jean de Toraccio, hospitalier dès avant 1266 jus– qu 'après 1276. C'est lui qui accepte, au nom de l'hôpi– tal les donations des frères Ryal de Pierre iie Lalays, et de Jean Cbalant. 2 ' Pierre de Lalays, de Brird, hospitalier dès a\'ant ,1283 à 1297. Il acceptait ou achetait de deux: particu– liers d'[ ssogne quelque" pièces de biens-fond;; à Issogne, le 18 octobre '1283.

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