BASA
- 272 - tario crirninafe &.. G'range p. segrctario: » - Cela eut li en ai la suite de l' espèce d'échauffourée dite insurrection de la· Vallée d'Aoste dans les derniers jou.rs de decembre l 8 () 3, à laquelle cependant aucun des paroi ssiens du dit curé de Do ;inas n'avait pris la moi ndre pa rt, ni par sa présence, ni autrement. (Mr le Comte· Edouard Crott.i De Costigliole · a donné, sur ce tri ste épisode de l'histoire de notre Vallée,. une brochure in 8 ' de ~Vi8 pages, imprimée a Turin en : 1 18 ~>5 r,hez les éditeurs Spr irani et Tortone). Je clos id. la série de mes notes sur l' hôpital de Don- – nas, et en mème temps la il.me et dernière partie de mon Mémoire sur les anciens hôpitaux de la vallée d'Aoste. Je prie le lecteur biemeillnnt, qui pourrait y jeter quelques cou.ps d'œil, de passer l' éponge sui· les mille et une fautes. qui seront tombées de ma plume, car ce n'es t pas ici un travail de littérature, et de remarquer que, si la charité est d.·autant plus active et. plus féconde en bonnes œuvres que la Foi théologale est plus vive, il ne faut pas s'é-– tonner que notre ancienne Vall ée d'Aoste soit appelée let Catholique, et qu 'elle ait été rega rdée comme le pays de la probité. La parole d' un valdotain était, à elle seule, un témoi gnage conrnincant pour tout étranger même, et il était sùr de n' être jamais dupe d' une tromperie, quand il contrac!ait avec un homme. de notre vallée. Pour exprimer la lo yau te la plus franche, on disait la bonne foi valdôtai~-
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