BASA

- :iO - ées têmoigriàges prouvent deux chGses : d'abord qùè le clergé de la Cathédrale d'Aoste avait em– brassé la VIe r~gul/ère, puisqu'elle avait Uh cloître; ·ensuitè qùè 'dè cloître est de heaüc6up antérintli' à l'annéè 1460, 0ohtra~i·erh~üt à l;opinion de plu· sieurs. ~fais 'èê qü~ p1 1 oùve tl' ürtè rliànièl'e irh~fragnbie que le Chàpitie tlë b Cathèdrr1t~ a eté autrefoîs re· güliei· ·aussi hiert c'Jüè celui de la Cnllf>giale, c'est t 0 ün acté, dnté de l'an 923, par lequel Anselme 1°" donne aux deux Chapitres plusieurs terres ad communem vüam, ce qui signifie évidemment que les chanoines des deux Chapitres menaient la vie de communauté; c'est 2° le témoignage de Mg1' Bescapè, qui parlant de l'admission de saint-Bernard de .Menthon dans le clergé cl' Aoste, dit expressément qu'il reçut l'hobit clérical des chanoine.s vivant en cornmunauté selon la régular/té de ce temps– là ; c est 3 · une donation faite par Humbert, comte de Savoie, en 1040, aux chanoines des deux Chapi– tres ordine canonicali'.. Mais quand la discipline régulière cessa-t-elle de régner au sein du Chapitre de la CJthédrale d'Aoste'? - Mgr Duc pense que ce fut dans la seconde moitié du XI' siècle. C'est ce qui semble résulter de la teneur de plusieurs actes de cette

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