BASA
~ -1 ~ ~. breu~ qu'au temps présent. Le nombre des paroi&.-– ses, au contraire, n'é tait alors que de soixante-troi::i,, tandi:; qu'il est maintenant de quatre-vingt-sept. M. le chanoine Margueret.taz de son côté lit une lettre de Mgr de Sales, évêque d 'Aos te, en date du 16 mars 1741. Cette lettre est aùressée par l'évêque à son frère à Turin, et il y est q nes– tion de l'aggression à main armée dont lui et les siens faillirent être victimes près de Milan. Mgr de Sales faisait alors son voyage de Rome. Une. copie de cette lettre a été donnée à la Société· Académique par M. le channine Marguerettaz. Le même académicien lit encore un compromis fait en 1553 enlre l'Evêque d'Aoste et le cl ergé.. L'Evêque prétendait hériter des prêtres de son dio– cèse, et ceux-ci se refusai ent à lui reconnaître ce· droit. Pour trancher la question, on convint d'en venir à un arbitrage dont voici la décision: l'Evê-. que héritera des prêtres qui meurent ab inteF>'tat,, et il aura cinq florins de petit poids, c'est.-à-dire,, cinq francs, des prêtres qui font leur testament,, sans disposer de leurs l1iens en faveur de l'Evêque.. La séance est close par la lecture d'une lettre de M. Auguste Conti, professeur de philosophie à Florence. M. Conti remercie vivement la Société de l'avoir admis parmi ses membres; il s'honore.
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