BASA
- ù;) - ~siè'cl es dè son ét blissemen t, on trouverà 'què sa'nt Ëusèbè -évt\que dè 'v ercei1 , 'ce grand et rameux pré1at aù quà:. trième siècle, fit en1.b:'a·:;ser l'état rel gieux à son Clei~gé; ·de sorté qué la cathedralè «Îevint un vrai monastère èt qu e la plupa1•1, pou r ne pas dire, presque toutes les plus illusli'es et les plus anciennes èathédrales du monde chi·etien oht commencé ces sainles soc iR lés qui dans la suitè s'ont 'devenues dès corps fame ux par un cer tain - - noinbrè de clercs régul:ers qui les de_;servaient. n M. de Tillièr ajou 'e : ~ La raison que les chanoines ct'Aoslè allèguent de n'en avoir trou vé auè>rn niémo i1;c dans Jê·frs archives, n'est pas une raison suffisan 'e. Ca1• oulre qu'elles soht impéné!rabies à tout autre qu'à eux, c'est qu' il y a peù d'anciennes écritures à èause de l'incendie qu'elles ont souffert le 4 juin 1518 que le feu du ciel, après avoir abat! u le grand clocher, Je3 troi s pl us grandes cloches, y pénél ra sur ies cinq à s;x heures du soir du mème ou1' (1) » No:is ne faisons pas difficul té de nous rallier ~ Popη nion du grand histor'en valdo tain, en ce sens que nolis croyons que le cliapitre de la cathe<lrale d'Aos te a formé dans les siècles éloignés du mo yen âge une vérit::;ble communauté cléricale, canonique et réguli rre. Les preuves (1) Recueil contenant dissertation historiqur et géogr·aph1~· que sur la Vallée et Duché d' Ao.~te. MSS.
Made with FlippingBook
RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=