BASA

- cm"-- Des documents authentiques du moyèn âge; que tWtlS cit rons plus loin, font au ssi mention de réfectoires p1·ès dè la cathédrale d'Aoste, c'est-à dire, d'une salle commune à manger et de repas .communs. Ces réfectoires ne pelivent s'expliquer que par la vie comniune des chanoines à une époque .antérieure; ils sont à la. fois des vestiges cc1'lains et de touchants sonvenil's de l'aucienile régularîté. Ce que nous avons établi jusqu 'ici à 1 1 aide d'un·e ind c:ction légitime 1 nous Je prouvon~ par un al'gument irréfragabTe. Une ch~ rte til·ée dés archives ê:i pitulai1'es e>t épargnée par le feu du ciel démontre vic'ofieusement q11 1 au dixième siècle les chanoines de la catbédrafo, aussi bien que ceux de la colfégiale, ·menaieilt une vie commune confo11nc aux fois ecclésLétstiq :es en vigueur dans ces temps.– là. C'est J'acte de donation de plusiem-s terres· qu'An– selme I, évèque d'Aesle, fit en 923 aux deux c·: apitr~& de sa ville épiscopale, sou s fa liante approhatioù de Ro– dolphe', roi de Bi>urgogrre, alors de résidence à Aoste'. Vo:ci les termes de cet acte : 1t Dono donatumque esse io • perpetuum volo- Eeclesie sàncle marie et sa:ncti iohannis 1 sanet'que m-si ad communem victurn suorum eanonieorum,. • pred' eto rege Rodnlpho Ia:udante et omni sua corronorante· • auctori ta te,. hoc est quasdam. teins que' sunt in valle· • augustana site, hoe est Funil et in morado et in a1~pu- • liia., et quidquid ad ipsas terras hedie pertinet; ita ut

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