BASA

- &9 - ésappropriation nbsolue. JI permet aux chano.ines, .moyen~ ant certaines condi.tions;, .de ;rece:voiJ: .des .offr.aqdes, les lS.lributions quotidiennes, et même .de possé<Jer des héné– ces p). Une autre . prnuve· Y~ent fortifier notre démonstration. ,'an 1040, Humbert, comte· de Savoie,, fit aux deux cha– :t1·es d'Aoste la donation de plusieurs biens situés à; ,vise et en Valdi3ne L'acte renferme ces mots : 11 Dono, cedo·, confero: canon:cis .~ancti iohannis nec non et sancti ursi ordine canonicali (1uidq.1ûd .predii, etc. 11 Notons; ~s mots ordine carwnicali. Cette· célèbre cha.rte sup– ose donc la vie canonique en pleine observance au se'in• es deux chapitres. Aucune dis tinction n'est établ~e· entre: ux . Les nuls ordine canont'.cali s'appliquent égale-· ient à; l'un el à l'autre. Enfin:, nous voycns en 1427 Jean de Bertrand'., arche-.. èque de Tarentaise, procéder à la visite de· la cathédrale et.du hapi~re ·d'Aoste. · Faisant la descriptioQ., des diverses pièces e bàtime'i1t qui serv<iieptà l'usê,lge du cbapitre alors déjà ~cularisét il mentionne· « la .cuisine . du monastère )) ' ionasÙriï eoquùia. C'était évidemment là . même pièce, \). l'on apprêtait ja?is Jes repas des chanoines'· <vivant en• ommuriâuté et soumis aux règles . monastiques. De tous ces fa:its, H nous semblê résulter .clairement. (.1), lle:v . des scieu.ces eccl. l. c.

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