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- 'i --' â ulres de nos sain ts confrères, nou s adm i-i~Îoris ce sair~t 'corps qui a été l'asil e de l'auteur de la vie; Jacques, COil-' sin du Seigneur, et Pierre, grand ornement et principale 'colonne des tli éolo;rièns, élaient aussi aveè nous , Après a·voi1· èontemplé ce saint co:·ps, il plut à tou s les Pontifes d'exalter, selon leur capacité, la toute puissante bonté d.e Dieu : après les Apôtres, Gérotée 1 comme tu le sais, fut celui qui 1 'exalta ill us que tous lès au tms sages. )) Saint Méliton de Sardes, qui écrivait vers l 1 an 170 1 tlit, dans son iiv1·è DJi: 'i'ilANSITu VmGINfSt que fa Mère de Dieu i:lst mo1'tè 11 Jé1•usalem. Polycrate, évêque d'Eplièse 1 qui vivait au second siècle 1 ênutnètè, dans sa lettre au Pape Victor, les noms des hommes el des femmes illustres qui sont morts dans cette vi lte, pa·1'mi lesquels se trouvent saint Jean l'érnngéliste et ia fil le de saint P:1ilippe apôtr'e; mais il ne · parle point ·de la Sainte Vierge. Si elle était morte à Ephèse, il l 'a u~ rait nommée la première, comme. la plus grande illu.stra:'– tion de cette viflc. Sain t Epiphane, qni vivait au ttoisième si'ècle·, dit ·que là Sainte Vierge est morte à Jérnsal em. Juvénal, évè'que de Jérusalem, requis par l"empereu;r Marcien et par l'impératrice Pulchérie de le ur dire quel était Je· tombeàu de la Sainte Vierge, leur répondit : Il< Ncms. a.v~ons une antil}_Ue etc trè&~vraie traditi.-OI,}c qn 'au