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- ',' () - ll h' y à "poin t cle lie11 'où là traditi on sur i ' a uthenh~ilà {~es saliètu àires àit été pius ·'Soigneusement conse rvée qu 'en J>ales line, pal·cè que, dep uis ie temps dès apô tres; ii y â toujours eu, de géné ration én généfa tion, quelques fei'vents cl;rétiens qui Yé ~aaient ies lieux M1 se son t accomplis les mystères de ia rédérnption et qui les indiquai ent aux pè– lerins qui vénaierit des contrées de l'Occident pom' y prier, li n'y a point cepenrlrnt de sanctuaiI;e en Pah~stiné dont l'authenticité n'ait été révoquée en doute par qu lques ec rivains. C'est une vanité r;dicule qui les porte à toumer le dos à la vérité pom' la gloriole de sé distinguer des au tres en disant quelque chose de nouveau. D'aut1'es les copient sans la moindre critique et forment ainsi· une opinion qui fa it doute r de l'authentici 1 é de ces saints lieux; quelques-uns; tels que Strauss et . consorts; ont por:é l'impudence jusqa 'à niei; l'existence du Christ, malgré l'histoire et les monuments. J. J. Rousseau avait bien raisoh de dire : « Quel est le philosophe qui ne ment pas pour se faire un nom ? » Il me paraît, Messieurs, que ies preùves, que je viens d'a:pportei', ne iaissent aucun doute sur I' authentici:té du tombeau de la Vierge qu'on vénère dans la vallée de Josaphat.

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