BASA

,. que ia maladiêre a11 rait été par son fondateur placée som~ la surveillance et tittelle, dirais-je du Chapiti·e de la caih é~ draie, tout en laissant, le droit de patronat a l'~vêqu e prr> tempore du diocèse ? qui sait peut-ê tre même si elle ne serait pas une de ses œuvres de bienfaisance ? Car rien ne vient confirmer ce qui a · été dit transitoireme~t dans l'é– crit cité du 1 l 1 août t 420. Celte cit·constance n 'e~lève.:. rait pourtant rien à l'ancienneté de riotre 1nalaâière. tes bienfaiteurs génétéux, quels qu'ils soien t, qui on't fait élever et bàtir cette léproserie; l'ont aussi poui·vtiè d'une dotation convenable, dont la part principale aura consiste dans les biens-fond:;, au milieu desquels elle f~t consti•uite. Une feuille de papier, hélas sans date, retrouvée l'àce t p-rope maladeriam. Cuius fin es sunt de pri ma pa rre !llrala publi ca, de secuudà rès sa ncLe Mari e, de térlia rivus her·balis, de qua rta r·es de Palalio. Hanc au lem peliam terre Jederunl eis pro duodecirn denariis de se rvilio annualim in Ï'esto sa ncti Ursi reddendis et pro uno sesta ri o frn menti in K ldi~ â ugu sli i·ed'dendo et proq uin que solid isde placitoqua n– fü· acc iJeri't Lam in ino rte pi·ioris sa n-:ti Ursi quam in morte reclori s de maladeria. Hoc totu rn factum est µred icto do– mino R. prncuralo re Atlg. Eccle'sié \fresenle et consenl ien la pro apposilione sigilli sui totum confi rmante. Interfuernnt autem hu ic fa cto Aym on de 'Curiis, Aymon ct·e Palatio et Pe trus de Cnr'.iis. Gni ll 5 Varbe rtus canon ici sa ncli Ur si. Don. Aymo Capp. de Cogn i et alii quam plures.

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