BASA

- 89 - laD3 le; arc~li rns de l'évêché, laquelle parait être un ' ·ragf!lent d 'enqu ~ tes, nous ~it que « la chape'le de sainte r< Madeleine et l'hôpital des pauvres lépreux. possédaient au r< dernnt, au dess us et au dessous de la chapelle jusqu'à c< la Doi re une étendue de vingt-trois S ;térées environ de H"és avec arbres, pâturages et îles, de la valeur capitale w mo:ns de mill e bons florins et plus (1). Quelques Jarties auront été ajoutées par des legs ou des acquisi– .ions successives, mais le gros de ce tte ferme aura sans Joute constitué, dès le commencement, son premier apana– re. Mais là ne se réduisaient pas tous les avoirs de 'établissement : voici encore trois parchemins du Xlll' :iècle .: le premier contient une rente annuelle de dix. sous, ~o nstituée le second octobre 1256 au profit de l'église de :ainte Madele[nc, en favem· des lépreux. Le cens s'imposait :ur une vigne à Clou-neuf. Cette église de sainte Made– eine est la chapelle même de l'hôpital dont nous parlons. (l ) Capell a B. Mariae Magdalene et hospitale pauperum eprnso rum ibidem existentium tune temporis habebant et )Osside banl, a P.ubli co itinere usq u.e ad cursum Durie ant e psa m capellql11 et desup~r et de S}.l bter, prata v!ridia pasC~ fl io rreria gorras () rbores et insulas, c<;mtinentia circ<,1. XXIII .e~ta ri.a ta. prata ,existentia de pr,o prielale di ctorum cappell e :t hospitali s, valenli_a pro semel ultra millia florenoru 1n 1 l,~nOf'.UID ....el ita fuit et est verum pu blicum notori UJ~1, .etc.

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