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83 - Boniface ne négligeait pas les intérêts du fief que la mense avait à Issogne. La 2• férie de décembre, il obtint de Nicolas de Chatillon la ce1;sion de ses · drnits sur des propriétés sises dans cette paroisse (1). En ce mois, le chapitre de la Cathédrale, pour deux parts, et ce! ui de la Collégiale, pour la troi– sième part, accensèrent à Richalme du Palais, sur– nommé Escot, et à ses fils seulement, diverses pos– sessions situées à Fontanelles, à Valquinzasche, à Maceno, à Doue, à Toles, à Otées, et à Valsava– renche. De son côté, Richalme prêta hommage aux deux chapitres, tout en réservant la fidélité due à son seig1H'ur, Jacques de la Porte·Saint-Ours. Nous voyons fi gurer dans cet acte les chanoines de la Ca– thédrale, Pierre d'Ugine, Jacques de Montal to, maître Pierre de Derby prêtres, Vuillerme du Palais, maître VuiJ[erme, Girold de Chesalet diacres, Gui de Cbeealet Jacques de Cevins, Aymon Des Cours, Aymon du Pa– lais sous-diacres. En même temp.,, le chanoine Anselme de Perron se dessaisit en faveur de la Collégiale de tous les droits qu'il avait sur la trnisième portion de~ biens ci-dessus désignés (2). Nous observons ici comme ailleurs la distinction thenticité de cet écrit. Voici ses paroles : " Ille parum distans :1.b aevo d. Bernardi potuit scire quandonam natus et mortuus. Monumenta antiqua Augustae, imo monumenta iuxta liturgiam, non poterant non esse d. Bernardo illico supparia. Millesimus nativitatis (923) et obitus (roo7) annus hic integris litteris scnp– tus non potest esse erroneus. " (x) Archives de lëvlc/Jé. (2) Kal. S. Ursi, f. L. et LXXII.