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- 113 f0":oiàle, de Jacques son fils, de David d~ Geyey et de Jean de Molina. Nous remarquons, parmi les té– moins, Je moine Gademar, prieur de Nus (1), le che– vaiier Aymon de Nus, le chevalier Vuïllerme de Ma·zo, Pierre de Pomer (2), chanoine de Saint-Gilles et cù'ré dè Fénis (3). Le seigneur Godefroy fit mieux enéore, en 1236. Voulant étouffer toute contestation, il céda « à la n'raison de Saint-Maudcé et à ses serviteurs » tous les droits qu'il mesurait sur cette pièce de terre, et cela pour le remède de son âme et de celles de ses parents ( t). La 2° férie de novembre, Vuillerme, chanoine de la Catllédrale, agissant comme mandataire du chapi.:. tre, vendit, pour Je montant de cinq sols, à l'église d'Allein et à ses desservants une vigne située à Gi– gnod. Le vice-chancelier Barthélemy dressa l'acte relatif (5). La même année, Je Chapitre concéda à Martin , clerc de la Catbédrale, sa vie durant, une vigne située à Rochères. Plusieurs chanoines inter.vinrent à cet acte : Jean archidiacre, Jacques de Montalto, Pierre dédiée à S. Hilaire, comme il résulte du Pontifical du bien– heureux Emeric écrit en 1309. Probablement, il est ici ques– tion de la chapelle de la bourgade, aujourd'hui encore sous le vocable de S. Jean Baptiste. (r) C'étaient les bénédictin~ qui desservaient à cette époque la paroisse de Nus, sous la dépendance de l'abbaye d'Aynay de Lyon: ·. (2) Pomer et Molina sont deux hameaux de Fénis. (3) Archives .de l'iviéhé. (4) Cartulaire du couvent de Verres. (5) Archives de l'évlché. 8