BASA

- 105 - siècle 11 OO. Plusieurs autres non moins anciennes qui n'y sont pas nommées étaient du patronage ou de l'un des deux chapitres de la cité, savoir de la cathédrale ( 1) ou de la collégiale (2) ou du patro– nage de quelque couvent (3) . » Voici les noms des églises mentionnées dans la bulle pontificale: l'église du Saint-Sauveur de la Valleise, l'église de Saint-Pierre et de Saint-Ours de Donnas, l'église de Sainte-Marie de Vert et les chapelles de Bard, Saint-Maurice (chapelle du château-fort) et Sainte– Marie (église paroissiale actuelle), l'église d'Hône, l'église de Champorcher, l'église d'Issogne, l'église de Saint-Victor de Challant ( t) et celle de Saint-Maurice (Brusson) dans la vall1\e de même nom , léglise de Saint-Martin d'Ayas, l'église de Saint-Solutor (à Isso– gne), l'église de Saint-Eusèbe de Publey (Montjovet), l'église de Saint-Germain, l'église de Sainte-Marie à Sommarèse (5) la chapelle de Chatillon, les églises (1) Ainsi, alors déjà, les églises paroissiales de Chatillon, de La Salle, etc., étaient unies au chapitre de la cathédrale. (2) Le chapitre de la collégiale possédait les églises de Gres– san, de Cogne, etc. (3) Le couvent de Verrès avait les églises de Fénis, de S. Mar– cel, etc ; le couvent du Grancl-St-Bernard, celle d'Et1oubles, etc. (4) Dans la bulle d'Eugène III, 1145, la paroisse de S. Vic– tor est définie parmi les possessions de la préY6'.é de Verrès. 11 faut croire que la présentation du curé appartenait au prévôt, et que l 'institution fut réservée à l'évêque. Cette explication aplanit la contradiction qui résulte de l 'examen des deux bulles. (S) L 'ancienne église paroissiale d 'Emarèse n'occupait pas l'emplacement actuel; elle était au sommet de la paroisse. H

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