BASA
- 135 - de Mont girod, de Sainte-Marie et de Saint-Pierre de Cliàtel-Argent, de Saint-Ours de Cogne, de Saint– Etienne de Gressan, de Saint-Martin de Veraye , de Saint-Sauveur de la ValleisP, <le Sai nt-Jacques d'Issime, <le Saint-Jean de Quarto, de Saint-André de Pav one, de Saint-Paul de Verceil ~ enfin les églises de Salugia et de Stillan. De plus, voulant encourager efficacement l'agriculture, le pape établit que les terrains mi s en culture p"'r les soins des chanoi nes seraient exempts de Lou le dîme. Afin de favoriser les voca tions reli– gieuses , il veu t que les clercs et les laïq ues , de condition libre, fuyant le siècle, soient reçus dans le monastère; mais, d'un au tre côté, il défend aux reli gieux profès de sortir du couvent, sans la per– mission du prieur, excepté pour embrasse r un institut plus sévère. Le Souverain Ponti fe permet aux chanoines de Saint-Ours, dans le cas d'interdit général, de cé– lébrer les offices dans leurs églises, à voix basse, à portes closes et sans le son des cloches. La nomi– nation à la charge d'âmes es t réglée de façon que le droit de présentation appartienne aux chanoines et le droit d'institution à l'évêque; les curés dépendront de l'évêqu e pour le spirituel et du monastère pour le temporel. L'élection de sépulture dans leurs églises est sauYegardée, étant réservés toutefoi s les droits funéraires de l'église paroissiale du défunt. La nomi– nation du prieur doit se faire du consentC'ment commun du chapitre, ou par la plus grande et la pins sai ne partie du chapitre, conformément à la regle de Saint-
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