BASA
- 137 - réguliers, ayant charge d'âmes, pouvaient ètre assistés de deux ou trois confrères dans les paroisses qu'ils desservaient, et qu'ils devaient s'adresser uniquement au prieur en tout ce qui concernait l'observance de la règ!P. religieuse. Comme les séculiers ne se faisaient pas faute d'usurper les biens des églises, de s'em– parer de leurs sujets, et de prélever indùment des impositions sur le cler~é, le pape s·élève avec raison contre ce=> excès. Il défend même aux évêques de soumettre les chanoines de Saint-Ours à des contri– butions contraires aux prescriptions du concile de Latran, et de les frapper d'interdit ou d'excommuni– cation, sans cause légitime (1). Aucun écrit ne mentionne le nom de l'évèque Guigo depuis 1183. Notre vénérable prélat mourut vrai– semlilablement en 118 L Le martyrologe de la cathé– drale, dans une note marginale, fixe son décès au 13 octobre (2), sans date d'année. Celle inscription dans le martyrologe de la calbMrale nous fait croire qu'il a été sépulluré dans celle église. située entre l'hôpital de S. Ours et la charrière Clément, et d'une autre vigne située entre le verger et l 'Arc de triomphe. (r) Rist. patr. Mon . Ch. r. 933. (2) « m id. oct. obitus episcopi Gigonis. » Ms.
Made with FlippingBook
RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=