BASA

- 13:2 - populorum pour lier la vigne. L'usage de soutenir et de lier ainsi la Yignc est encore suivi généralement par les viticulteurs de nos jour!'. · Le fils de VuillerrnP. Iloysun, fondateur de l'hù· pifai des Colonnes, nommé Pierre Boysun, vivait en– core en 1262. Après avoir concouru à. l'érection de celle ancienne maison hospitalière, il voulut mettre le comblH a ses bienfaits, eu renonçant en sa faveur à Ioules 1;les possessions qu'il aYait héritées de son pèrn. C'est ee qu'il fil par acte de la 3' férie de juillet. Il abandon11a à cette intention les biens qu'il avait à Champferré, à Lachinal, à Poinzo et à Empallian ( 1). Le prévùt de Verrès de celle époque ~·appelait Jean. Le 23 octobre 1262, il défendit aux feuda– taires du prieuré de Chambave de cultiver les biens dont ils étaient tenancier:;, tant qu'ils n'auraient pas soldé le plait dù au décès du dernier prévôt. Cet acte ful passé . derrière l'église de Chambave, en pré– sence de- Boson, prieur local, et de Guarin, chanoine de Saint·Gilles (2). Hugues était alors curé de !"é– glise Saint-Maurice de Fénis. La 7' férie de novembre, nous voyons le seigneur Pierre d'lntrod, fils de Marc dti Sarre, transmettre à litrél de gdge, a son cousin Jacques de Sarre, fils du seigneur Ai mon, pour la somme de vingt livres, tous les droits qu'il mesurait, conjointement avec son frère Hugue~, sur un ·fi ef qu'il~ tenaient de la mense épis- (1) Arc/J. de l'évêché. (2) Crrrtulrûr~ du co11 vwl dt. Verris.

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