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- L3G - de Sariod. li se montrait aiosi tidèl() observateur des coutumes féodales du duc!H>, qui tendaient à écar!er des successions les filles, el à consolider dans les agnats la puissance et la richesse des familles. Le tlonaleur ne se réserva quo quelques légères rede– Yances. Il poussa mème la générosité ju,;qu'au point de statuer qu(', s'il venait a avoir des hé1;itiers autres qu'C la fille qu'il avait d?jà eue, ces héritiers n'au– raient · que la moitié de ses biens meubles el im– meubles, · et que l'autre moitié resterait acquise au donataire Vuillerme. Le seigneur Pierre investit de son chi\tean, de ses maisons et de ses terres le che– valier Vuillerme Sariod recr~vant au nom de son fils Vuillerme. Cet acte fut reçu, le '17 mai, par le no. taire Améù~e, i1 S1int-Pierre de Chatel-Argent, dans la maison du chevalier Vuillermc Sariod, al'eC l'in– tervention du chevalier Anselme d~ Ilos~es, du cl1a– flO'ine Anselme d'Avi1'e, d'Aimon son frère, d'Aimon d'Arvitr el d'Anselme son frère ( 1). Le 25 juillet, llodolphe, archevèque de Tarentaise, se lro11Tail à. Aoste. En faisant, comme métropolitain, ~a visite à l'église el au chapitre de Saint-ÛUt's, il eut à donner une décision touchant la dame Beria, mère de Jacques, sire de Quart, el femme du sei– gneur lluflin, laquelle arnit fixé son habitation pi·ès de la collégiale. Cette noblr. dame passait; aux yeux. d' un certain monde, pour arnir fait rœ1.1 de religion. ~lais la drclarntion de l'L•vèque Pinre du Palais; qui étai t chanoine de Saint-Our~, lor:>qu'elle vint demeurer (1) Rr.r. :1.r.il ,fr Fr1111c'1is~s, d,, Pri;iiliges, etc. du di!.rhé d',,1os/e.