BASA
- 13U - suivanl, l'acte d'acquisition que notre évêque lit d'une pièce de terre ; cet immeuble était situé à llopo et appartenait à Bauduyu de la Porte-Saint-Ours. Le~ quatre fils de Baudu yn 4~pp~rent leur approbation à CA cont!'at, q ni fut reçu par Turumbert, 11ubstitut du_ chancelier Gontier (1). · ·., • Un document curieux s'offre à nous d.ans . celle année 1266. Le comte ùe Savoie faisait exiger ~es droits de péage au Mont-Joux. Voici le tarif en vi– gueur, dans ces temps, de diverses marchandises : Pour une charge de peaux, on payait riuatre de– niers ; pour une charge ùe f~r. de même quatre de– niers ; pour une charge de laine, deux deniers ; pour une charge de ~· in, de blé ou .de· sel, nn ·denier ; il esl ici question d'une charge de che.val. S'il s'agis~iJ,il d'une charge d'àne, le prix était moindre. Pour . une petite bêle de passage, il fallait payer une obQle ; pour une grosse bête, quatre deniers ; pour chaq·ue cent faulx, on en remellait deux (2) .. Le droit de peage ou de douane n'est donc pas une. invention moderne. Dans tous les temps, il a é·lé une des prin.– cipale.> ressources du fisc. " ( 1) Arcli. de l'évlclié. (2) 'l(erneil de FranchistS, 'Prii•iléges, etc. . ;.
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