BASA
.Nous trouvons, à la date tlu 1r6 iovemhrn ,, 267, un autre valdôtain parmi les chanoines de la cat+1é– drale de Sion. c'est Pierre de Montjovet, dont ' l'e'l– traction nous est inconnue d'ailleurs. Son nom ·est cité dans un acte de celle église, par lequel le' chevalie:r Aimon vendit un cens de quatre lines au cltapilr~ de la même cathédrale ( 1). '; Un autre compatriote assistait, en Vallais, le mois suivant, à une convention atipulée entre le chevalier llodolphe <le Champel et Lyonnette de Monthey : il se nommait père Vnillerme, religieux franci~cain (2). Ce que lés valdôtni11s, épris de l'amour de la vie reli– gieuse et péniteute, ne trouvaient pas dans leur pays, ils allaient le chercher dan:> les diocèses avoisinants. L'Ordre de Saint-Françoi5 d'Assise" n'avait pas encore de couvent a Aoste; mais il y était déjà assez ap– précié, vers la moitié du treizième siècle, pour qu'il ~, recru tàt des vocation~. Le père Vnlllerme est; lt noire connai~~ance, le premier suje t que I~ 0 diocèl>e a:t fourni à la famille franciscaine:. Mentionno1H1 encore quelques donation,s faites à la collégiale de Saint-Ours, dans le cours de celte an– née. C'est d'abord Bauduin de la Porte-Saint-Our~. q1ii eonstilue en sa faveur le cens de deux sols in1- posé sur une crolf11 situee a Palais, près des murs orirnlaux de la ville ; c 'e.ot ensuite ' le seigneur Gl– ranl de Gignod qui lui l'ait la même aumône de deux (il Gremaud, Docn111~11ts, etc. '. 2) Id. •!!
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