BASA
- ·18'1- - l'l·glise de Sai11l-Yincr11t (de MalliPrlJ1.' ;, l'égfoe d~ Saint-Our~, ie conven: de Sainl··Gillc~, les religieuses de Pertui~ ou de Sainle-Catherine, les égl ises ou cha– pelles de Sainl-Silrestr~, de Saint-Jacquème à Aoste, de S:lint Clénwnt, de Saint-Sauveur, de S:iint-Etienne, 11!~ Saiut-Nicolas du Rumeyran, de Saint-Gral, la Ma– Jadière , l'P.glise d'Elroub!es, le chapelain de Saint– Oyen1 la maison du Mont-Joux , l'hôpilal de la Cl11sr, 1'1'gli' e d'Allein, l'hôpital de Saint-Our:', la maiwn d~ Colonne-Joux, la catlirdrale de Lau sann e·, le couvent de la Chartreuse, le con Yen! des Frères-.M ineur.> de Lausanne el celui dïvrée. L'in~i g ne bienfaiteur n'oublia pas ~es !ils et ses proches; il fit plusieurs disposi– tions en leur f'ayeur. Erdin, il li'gua la somme de quarante lines pour l'accomplissement d'un vœu de pèlerinage t'll Ttrre-Sainte, qu 'il :nait fait arnc ~a femme Jacobée ; il ass igna celte somme pour les fra;s de 'oyage de Mux clients qui s'engagen~ient à la première Croisade générale (·I ). Dans l'énuméralion qui précède, il y a un fait qui doit être relevë. Les églises de la cathédrale et de Saint-Jean se prés (• ntenl comme dislinctes el ont cha– ~une séparément part aux largem~s de Nicolas Hi– chard. Celle distinétion ne prouve+elle pas qu 'eUes forniaienl deux édificrs religieux tout à fait séparés ? On l'a déjà pu constater, au cours de Cl'S Annales. Le legi relatif à la Croi~ade mérite au5si l'cltenlion. Cette pieu ~c disposition testamentaire se pïéscntera
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