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- - .200 - à ' r~,·è que. Il fut aussi comenu que les feudataire~, en ' cas de vente de l'imrnen\.Jle, ~eraient obligés de le relÎlcher li l'évèque, au prix qu 'un autre acqué– retÎr offrirait. Ces deux actes furent dressés par le notaire Amédée 1t l'évèchè, sur le cimetière de Sainle– Marie, est-d dit ('I). Une cl1arle de la :2' fèrie de juin nous révèle l'e~istence du village ùe Laval a Bos~es. C'est .Jean de Saint-Remi, citoyen d'Aoste, qui vendit, en ce jour, à Pierre de Saint-llemi , pour le mon tant de huit li– vres, dêux prés situés en celle locali té (2). La cofondalrice de l'hùpilal des Colonnes (3) , soii de Nabui;;son, Ermenburga, surnommée Naboyson, vi– Yail en 127 1 1, el administrai l les biens-fonds de celle maison de el1ariti•. Lt! 18 juin, par acte passé dans ct>l hùpital pr(Js de la cuisine, la dame Ern1enlrnrga, d'accord avec son fils dit lloys0n, donna en fief per • pélu 1 el à Varnier de Cliarv ensod une pi èc~ de terre sise à Empallan, sous rése rre de certaines redevan– ces. Le notaire An selme reçut cet acte ( 4.). Cett'e année, Rodolphe de Valpelline fut créé évê– que de Sion. Ce nom, qui ne nous est co1111u que par qu·~lques actes de son épiscopal, est un de ceux qui ont été le plus mallraités par le temps. Nous ,Il ! ' \1) A i-ch. de l'éuêc/.·é. '1 I• • • , (2) Id. (3 ) Cet hôpital existait au moins dés l':m 1227. V. l.e li. Boniface de Valpergm. (0 A1·cb . de l'éuêrhé .